dimanche 27 juillet 2014

Mossoul, en Irak.

Ce symbole est une lettre de l'alphabet arabe, 
le "noun", correspondant au "N" de l'alphabet latin
et désignant le "Nasarah",  le Nazaréen, ou chrétien dans le Coran.
Il est utilisé en Irak par l'état islamique pour désigner les chrétiens 
à qui on donne le choix, quand on le leur donne, de :
soit se convertir à l'islam, 
soit accepter le statut de dhimmi et être rançonné,  
soit partir. Sinon la mort.
Comment se fait-il que ceux qui disent traquer le racisme, qui montrent une appétence
démesurée à le trouver chez l'autre, allant jusqu'à l'inventer là où il n'est pas,
par l'usage outrancier de termes suggestifs comme "sournois", "rampant" etc ..
et par l'invention ultra-débile du concept de "racisme ordinaire" pour se permettre
de lyncher hommes, femmes et enfants avec une bonne conscience sadique.
 comment se fait-il que ces auto-proclamés "anti-racistes" ne bronchent pas
alors que l'holocauste bat sont plein ?
J'ai pris ces photos sur ces sites (info.catho.be, europe-israël.org)
Les sanguinaires d'EIIL anticipent déjà la suite :
une fois entre eux, ils pourront s'occuper de l'autre opération,
la plus importante pour eux, avec la guerre :
le sort des femmes, objets à razzier, s'échanger, à vendre et à torturer au rasoir.


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dimanche 20 juillet 2014

Considérations sur le vêtement féminin.

Une femme qui s'en va manifester, en France, s'habille en conséquence,
au cas où il faudrait courir, ou exécuter diverses figures plus ou moins acrobatiques.

Et si par hasard on est attifée de façon à s'isoler, dans une supposée "pureté",
pour ne pas être contaminée par l'impureté qu'on attribue aux non-musulman,
on le fait dans un groupe où on ne sera pas discriminée en tant que femme, un groupe qui,
c'est le comble, soutient ceux qui veulent sortir les femmes de l'espace public. 


 Et si par extraordinaire elles avaient le désir de prendre part au combat comme ci-dessous,
certaines seraient exclues d'office : on ne gesticule pas en burqa.

Donc la conne, là-haut, qui manifeste pour soi-disant soutenir des gens discriminés et mal traités,
apporte en même temps sa caution active à une autre discrimination en acte, celle des femmes,
en soutenant les guerriers ivres de violence qui sortent les femmes de l'espace public,
et niquent la Loi française.

Je pense qu'un gouvernement, avec un chef de l'Etat qui se refuse à "faire Père"
ne peut que laisser libre cours à la violence et à l'errance de ses "enfants".
Et si en plus de s'escamoter comme figure de l'autorité,
il entretient, discours après discours, la confusion, l'an-historicité, la non-différenciation,
ça produit ce genre de "pensée" rapportée sur la pancarte ci-dessous

Je laisse l'article sur l'ambiguïté de cet assemblage de mots,
qui n'a d'égale que l'ambiguïté ravageante entretenue par le gouvernement Hollande
à tous les niveaux de la pensée, qui ne peut plus s'accrocher au sens.

En n'assumant pas le signifiant qui oriente,
Hollande laisse dans la pagaille tous les autres signifiants.


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samedi 19 juillet 2014

Reflux de la DSMisation ?



Voir aussi en fin d'article le lien vers le site d'Olivier Douville,
et son élaboration sur le sujet.


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Samedi 22 Novembre 2014
De 14 h à 19 h à Paris
De STOP DSM à POST DSM

Il y a 4 ans nous appelions à en finir avec le carcan du DSM et à son boycott. Nos critiques concernaient l’hégémonie de ce système unique, l’illusion de scientificité sur laquelle il repose, les scandaleux conflits d'intérêts, la régression de la pensée et l’appauvrissement de la clinique qu’il génère, sur fond de croyances et de préjugés moraux débouchant sur une nouvelle normativité sociale et comportementale qui touche tout le monde et spécialement les enfants. Aujourd'hui si le DSM, un an après la publication de sa version 5, n'est pas mort, son projet de réduire la psychiatrie à une langue universelle standardisée et formatée est caduc et de nombreuses critiques argumentées s'ajoutent aux nôtres de toute part dans le monde, provenant :
- des usagers de la psychiatrie, qui constatent les limites et dangers de son emprise et interrogent le service rendu par les pratiques qui s’y réfèrent en santé mentale
- des responsables politiques qui s’intéressent aux politiques de santé publique et à leurs coûts
- des chercheurs et par les étudiants qui questionnent sa validité clinique et sa scientificité
- Enfin, le DSM est jugé inadéquat par les tenants de la neurologie des fonctionnements mentaux tel le NIMH qui ne souhaite plus s’y référer.
A l’heure où le DSM 5 va être publié en français, le temps est venu de prendre acte de l'échec des paradigmes réductionnistes neurobiologiques et scientistes du DSM et de réfléchir ensemble à une psychiatrie débarrassée du système DSM, d’échanger de façon ouverte sur la psychiatrie POST DSM et d'élargir le débat :
De quelle(s) classification(s) avons-nous besoin, et pour quelles pratiques de la psychiatrie? Quelles alternatives (CFTMEA, CFTMA) ?
- pour la recherche, l’épidémiologie, la santé publique
- pour s’orienter dans la clinique
- pour enseigner ce qui relève de la souffrance psychique
Quelle psychiatrie, prennant en compte le sujet, en relation avec son histoire et dans son contexte environnemental ?
Quel bénéfice, quelle amélioration réelle de leur état les patients peuvent-ils attendre des pratiques en santé mentale ? Quelle place, quels droits dans le champ social pour les personnes accompagnées et soignées en psychiatrie et en pédopsychiatrie ?
Quelles représentations de la souffrance psychique dans le discours social ambiant ?
Pour ces échanges, nous invitons :
- des collègues psychiatres de divers pays
- des psychologues cliniciens et des psychanalystes
- des représentants des usagers
- des universitaires
- des jeunes psychiatres et psychologues en formation - des représentants du groupe de travail sur la CFTMA - des sociologues
- des politiques et des économistes de la santé
Le collectif Initiative pour une Clinique du Sujet STOP DSM :
Jean-Claude Aguerre, Guy Dana, Marielle David, Francis Drossart, Tristan Garcia Fons, Nicolas Gougoulis, François Kammerer, Patrick Landman, Claude Léger, François Leguil, Geneviève Nusinovici, Bernard Odier, Michel Patris, Gérard Pommier, Louis Sciarra, Jean- François Solal, Dominique Tourrès Landman, Jean-Jacques Tyszler, Alain Vanier
Avec le soutien de :
AFPEP-SNPP (syndicat national des psychiatres privés) Association Lacanienne Internationale
Cercle freudien
Collectif des 39 contre la nuit sécuritaire
Ecole de psychanalyse des Forums du Champ Lacanien Espace Analytique
Fédération nationale des CMPP
Fondation Européenne
Quatrième Groupe
Section Clinique Paris-Ile de France de l’UFORCA, Société de Psychanalyse Freudienne
Interventions de : (Traduction simultanée prévue)
Allen Frances : « Ethical psychiatry diagnosis »
Psychiatre, chercheur, Professeur Émérite à la Duke University of California (USA). Il a rédigé le rapport sur "les troubles de la personnalité" du DSM III, a dirigé le DSM IV et a été un témoin privilégié de la rupture entre psychiatrie et psychanalyse aux USA dans les années 70. Il est actuellement un des principaux pourfendeurs du DSM 5. Auteur de "Sommes-nous tous des malades mentaux? " Odile Jacob, 2013
Pat Bracken : « Critical thought as a positive force for change in mental health” Psychiatre consultant et directeur clinique des services de la santé mentale à West Cork. Professeur de philosophie, University of central Lancashire au Royaume uni. Formateur en Psychiatrie à Birmingham. Il est un des fondateurs de la "Critical Psychiatry", travaille en étroite collaboration avec les usagers et s'occupe des réfugiés et demandeurs d'asile.
Invités ayant donné leur accord :
Chantal Roussy
Vice Présidente de l'UNAFAM
Marcel Hérault
Président d’honneur de la Fédération « Sésame Autisme » Mireille Battut
Présidente de l’association « La main à l’oreille » Patrice Charbit
Président de l'AFPEP SNPP
Patrick Chemla
Psychiatre, Collectif des 39
Jean Chambry
Pédopsychiatre, chef de pôle, Fondation Vallée, Gentilly
Ainsi que des internes en psychiatrie :
Reda Boukakiou, Anaëlle Klein, Emmanuel Pelon, Laurence Woestelandt
Grande Salle Notre Dame de l'Association du Quartier Notre Dame des Champs
92 Bis Boulevard du Montparnasse 75014 Paris
La salle ne contient que 200 places
Inscrivez-vous vite en envoyant un chèque de 30€ (15 euros pour les étudiants)
à l'ordre de "Initiative pour une Clinique du Sujet"
Le lieu
71 rue Claude Bernard 75005 Paris
Email : ics.stopdsm@gmail.com
Le programme complet détaillé vous parviendra courant septembre
Soutenez Initiative pour une clinique du sujet STOP DSM ! en souscrivant à hauteur de 50 euros minimum
Pour les souscripteurs : entrée gratuite à la journée et communication permanente par mail de toutes les infos concernant le mouvement STOP DSM en France et dans le monde
Un reçu vous sera retourné pour toute inscription ou souscription


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La décision par l'Institut de santé mentale de fausser compagnie au prochain DSM5 de l'APA
ne peut être considérée comme une preuve que la psychiatrie biologique est entrée dans un déclin ..


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vendredi 18 juillet 2014

Court-circuit informatique


http://depannage-serrurier-electricien-paris.com/depannage/Electricien/Recherche-court-circuit.html

J'ai pensé pouvoir rassembler les commentaires sur le blog et sur Google+
en suivant des instructions techniques auxquelles je ne comprends pas grand chose
=> il semble que des notifications ont disparu, notamment celles de Teresa Levy.
Je vais tenter de revenir à l'ancien système.
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dimanche 13 juillet 2014

PEUT-ON ETRE PLUS SOURD ..


.. que François Hollande,
dont un de ses ministres dit qu'il " sera en situation d'être candidat " en 2017 ?


J'ai cherché les définitions possibles autour de : "écouter" et "entendre" le peuple,
quand on est président de la république.
Tous comptes faits, concernant François Hollande, le mieux c'est d'égrainer les antonymes, 
car tout ce qu'il fait c'est que ni il écoute ni il entend :
il ignore, méconnaît, se désintéresse, dédaigne, et va jusqu'à terrasser.
Il est vrai que cet homme là ne veut pas entendre parler de "Père", alors Père de la Nation ..


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