dimanche 3 août 2014

Laisse On faire.

Il semble que ce blog prenne de plus en plus un tour politico-revendicatif.

Eh bien laissons-faire, laissons se faire ce faire, laissons "On" faire,
puisqu'il clame, et me réclame un tour supplémentaire.
Je vois deux pistes d'élaborations possibles, à partir de là :
1. se placer sous le signifiant "gargoulette" produit chez moi des effets de passe
2. relire le billet d'humeur de Christophe Borman 
sur " Les enfants qui battent le "On", 
où il était question de la réversibilité du fantasme, de l'Onfray,  
de ceux qui n'assument pas leur parole, qui prennent la parole en refusant de dire "Je"
lâcheté qui les conduit, ces politiques, 
et c'est mon lien avec le signe ci-dessous,



à tenter de nous vendre un distinguo entre "gentils" criminels et "vilains" criminels,
vrais gentils criminels dont on escamote les victimes, et fantasmes de vilains criminels
dans le but de gagner 1 point au score du match électoral.

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Christophe Borman sur les enfants qui battent le "on" etc..

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